Claude Lelouch et les politiques

 

Mes images claude lelouch 001.jpgMes images claude lelouch 003.jpgOutre le souvenir d’une chaleureuse rencontre avec Claude Lelouch, je relève dans son interview au « Soir » de ce week-end : « Les politiques fabriquent des murs alors qu’il faut les abattre. »

« Il faut avoir le courage d’oser et être sans arrêt dans la générosité. »

 

Concernant Poutine : « Il ne faut jamais humilier un dictateur. Il faut tenter la diplomatie par tous les moyens. »

 

De l’utopie à revendre avec : « L’Europe, c’est démodé. Aujourd’hui, c’est la mondialisation. Il faut aller une fois pour toutes avec une seule monnaie, une seule langue, une seule race… Il faut y croire. »

 

 

 

100e anniversaire de la radio : mon parcours de Radio Contact à VivaCité en passant par Europe1, Fréquence Terre…

 

PHOTOS 2009 été 2009 082.jpg blog.jpgDSCF9374ter.jpgCo-animateur%20à%20Radio%20Contact.jpgDSCF0308bis.jpgJ’aime beaucoup écouter et « faire » de la radio ! Depuis mon adolescence, je suis assidu à ce média. Jeune, j’écoutais « Salut les Copains » et « Campus » sur Europe 1. En 2000, je fus invité comme auteur dans le mythique studio de la rue François Ier : quel souvenir ! Tout comme mes premiers moments derrière un micro avec Jean-Claude Rombeaux le dimanche matin sur Radio Contact (trois années), puis il y a l’aventure de la web-radio Fréquence Terre et celle – qui continue ce prochain été – à VivaCité. Que du bonheur !

 

 

Voici mes deux dernières chroniques sur VivaCité concernant « La vie au quotidien en 1913 » :

 

 

 

http://www.pierreguelff.info/mp3/CharleroiMatin301213Quotidienen1913part1.mp3

 

 

 

http://www.pierreguelff.info/mp3/CharleroiMatin311213Quotidienen1913part2.mp3

 

 

 

 

 

Une statue lumineuse… pas luminescente, nuance !

WSaint Pierre.JPGC’est beau et apaisant de la musique sacrée interprétée par un organiste en répétition sous mon regard et sous celui, souriant, d’une statue lumineuse (je n’ai pas dit luminescente !!!) pleine de légendes à l’église Notre-Dame-des-Grâces de Woluwe-St-Pierre… Dont celle-ci, récurrente dans l’Histoire de l’Église par ces sauvetages « miraculeux » :

 

Notre-Dame du Chant d’Oiseau

La statue de la Vierge au sourire,
vénérée dans la petite chapelle au fond de l’église,
est une copie de la statue
 » Notre-Dame aux chants d’oiseaux « ,
nichée dans un hêtre, du petit bois  » Vogelzang  » (Chant d’Oiseau) sur les bords de la Senne,
en dehors des murailles.
Les premiers franciscains s’y établirent en 1228
et y construisirent une église en 1244,
incorporant la chapelle de la Vierge,
à l’endroit même où se trouve aujourd’hui
le Palais de la Bourse.
L’antique statue de Notre-Dame,
chaque fois sauvée de plusieurs désastres,
retrouvera sa place en 1862
chez les Frères Mineurs de la rue d’Artois.
C’est une copie exacte de la vénérable statue,
qui se trouve aujourd’hui au  » Chant d’Oiseau « .

Homéopathie et suspicion

Humeur verte : l’actu déjantée vue depuis Bruxelles, Capitale de l’Europe,  par Pierre Guelff.

homéopathie copie.jpgLa Haute Autorité de Santé française a validé un dispositif « particulier » de soins d’une clinique d’Avignon. Là, les médecins qui œuvrent dans la salle de réveil après une intervention chirurgicale utilisent l’homéopathie, les champs électromagnétiques pulsés, l’aromathérapie en diffusion, de la musique apaisante… Une cinquantaine d’autres établissements hospitaliers français sont intéressés par ce concept qui a donc reçu l’aval du ministère de la Santé. Durant ce temps, en Belgique, l’homéopathie reste suspecte aux yeux des autorités politiques. Les lobbys pharmaceutiques dits traditionnels y seraient-ils plus influents qu’en France ?

Photo : Stèle élevée au cimetière du Père Lachaise sur la tombe du docteur Hahnemann, fondateur de l’homéopathie.

Le Temple de Salomon par Xavier Tacchella (MdV)

« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.

adelaide strasbourg 003.jpgLe mythique Temple de Salomon fait encore parler de lui des siècles après son élévation à Jérusalem. Ainsi, l’éditeur Maison de Vie vient de publier « Le Temple de Salomon » de Xavier Tacchella, un auteur féru en symbolisme et, dans cet ouvrage de plus de 120 pages, on a apprend ou on se remémore, que ce lieu sacré a eu, aussi, un rôle de protection, qu’il y avait plusieurs parvis, dont celui des Femmes puisque celles-ci ne pouvaient entrer dans l’édifice, il y avait encore une table des pains de proposition, un autel des parfums, le Saint des Saints, un vestibule et bien d’autres parties qui posent question(s).

À ce sujet, une citation de Confucius est mise en évidence par l’auteur : « Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »

 

Audio : http://www.frequenceterre.com/2014/03/23/le-temple-de-salmon-de-xavier-tacchella-mdv/

Pas de transparence en politique ?

 

logo-nobstr copie.jpgDans la très longue interview (« Le Soir » de ce week-end) de Laurent Joffrin, patron du « Nouvel Observateur » (après avoir été celui de « Libération »), j’ai relevé ces propos étonnants :

« Quand on prépare une décision politique, on n’a pas à agir en transparence. » et « On ne doit pas sanctionner un élu parce qu’il a une vie privée un peu différente. »

 

Quelles performances ces chroniqueurs littéraires !

 

Carrefour Evere3.JPGJ’aime beaucoup la littérature et je lis généralement un ouvrage (plus ou moins 200 à 250 pages) par semaine. J’en tire une rubrique hebdomadaire pour « Littérature sans Frontières ».

Je suis ébahi devant la performance de certains chroniqueurs qui, à l’instar de celui d’un quotidien belge, publie chaque semaine sa production en ne se contentant pas, bien entendu, de reproduire la quatrième de couverture (C4 dans notre jargon), mais en émettant un avis « autorisé ». Parfois, très sévère : « Un lieu plus agréable que le livre… »

Ce samedi, j’ai compté sa production : douze critiques pour 2 845 pages au total (dont une majorité de livres très récemment publiés), soit une moyenne de plus de 400 pages lues par jour (et nuit ?). Il y a quelques mois, le même chroniqueur en était à plus de 700 pages quotidiennes !

Dans une rubrique radiodiffusée en France, un chroniqueur commet une rubrique par jour avec, comme la semaine dernière, la présentation et le commentaire de véritables « briques » (656 pages rien que pour l’une d’elles !).

Le secret du pressoir d’Élise Fischer (Pocket)

Littérature sans Frontières est une chronique de Pierre Guelff.

 9782266202572.jpgQuelle histoire ! Flora, jeune œnologue, quitte la Bourgogne pour le vignoble alsacien. Certes, elle fait des recherches au sujet de la vigne, mais, surtout, elle rejoint la terre de ses ancêtres pour tenter de retrouver ses racines. Cette histoire est celle d’un terrible secret de famille et, pour l’auteure, Élise Fischer, l’occasion de distiller, le mot est choisi, quelques phrases du meilleur cru dans son livre « Le secret du pressoir » (Pocket).

En voici un aperçu :

« Ne pas savoir qui l’on est, ça fait un trou dans le cœur. »

« Les pieux mensonges, c’est une invention des hommes pour n’avoir pas de comptes à rendre au Très-Haut. »

« On ne rattrape jamais le temps perdu. Ce qui compte, c’est ce qui reste à vivre, ce qui n’est pas encore écrit. »

« Il fallait en finir avec cette peste, avec le nazisme qui avait d’abord enfiévré le pays de Goethe et de Rilke avant de se répandre au-delà des frontières. »

« Rien n’est jamais grave, sauf ce qui est tu… »

Et, croyez-moi, ce qui est tu, puis révélé, dans cet ouvrage, n’est pas banal du tout…

Fièvre politique et thermomètre…

 

Presse02.jpgAffaires Sarkozy, affaire Buisson, affaire Copé, affaire Taubira…, c’est la cacophonie politique en France.

Pas mal, cette déclaration lors d’un débat de ce samedi matin à Europe1 sur cette  semaine politique infernale dans l’Hexagone : « Quand il y a de la fièvre, on dit que c’est la faute au thermomètre ! »

 

J’ai aussi interviewé à la prison de Bruges…

 

DSCF7632.JPGPascal Vrebos, présentateur de l’« Invité » sur RTL-TVi et directeur de « M. Belgique » (ex-Marianne Belgique) s’est fait passer pour un ami de Bernard Wesphael, parlementaire,  accusé du meurtre de sa femme, Véronique Pirotton, et l’a interviewé en prison. D’aucuns évoquent un manquement grave à la déontologie journalistique.

Pour ma part, en 1992-93, pour « Publi-Choc », le « people » du groupe Vlan-Rossel, je m’étais fait passer pour un proche d’une prisonnière à la prison de Bruges afin de visualiser (et puis dénoncer) la maltraitance effectuée à l’encontre de son bébé.

 

Melchior Wathelet, ministre de la Justice, avait réagi malgré son « irritation » face à ma démarche. Alors, croyez-moi, les leçons moralisatrices lancées par certains sont du vent à côté du résultat « humain » de « pareil manquement grave à la déontologie» !