Au 8e Festival culturel du Tibet organisé dans la capitale de l’Europe au profit de projets éducatifs dans cette partie de l’Himalaya, une jeune exilée tibétaine de 20 ans accepta de parler au micro de « Fréquence Terre ». Ayant quitté sa terre natale à l’âge de 8 ans, elle transita par l’Inde avant d’aboutir en Europe pour y suivre des études. Déjà dépouillée de sa culture et de sa personnalité, elle y est admise comme une… Chinoise ! Si ce courageux témoignage est le reflet d’un drame humain, il démontre à suffisance que la lutte citoyenne pour un « Tibet libre » n’est pas une simple vue de l’esprit et qu’il serait grand temps que les décideurs et politiques occidentaux agissent pour éviter que soit radiée de l’humanité la culture tibétaine, sans parler, bien sûr, de s’opposer à la répression qui s’abat depuis des décennies sur six millions d’habitants.
Mois : septembre 2017
Baudelaire détestait les Belges !
« Tous les Belges ont le crâne vide », « Bruxelles est un trou, une grotesque capitale, la capitale des singes », « La femelle belge repousse toute idée de plaisir », « Allez en Belgique et vous deviendrez moins sévères pour votre pays »… Mais, pourquoi l’illustre Charles Baudelaire détestait-il autant Bruxelles et les Belges ? La réponse dans ma chronique sur « Fréquence Terre-RFI », suite à ma visite de l’époustouflante expo « Pauvre Belgique ! »
https://www.frequenceterre.com/2017/09/28/charles-baudelaire-detestait-belges/
Un proviseur dans la tourmente.
Intense moment professionnel et fraternel avec ma chronique dévolue à un livre autobiographique de Larbi Adouane, qui vécut la guerre d’Algérie dans son enfance, participa de manière pacifique à la libération de son pays et réagit de façon tellement humaniste lors de la « décennie noire » des années ’90 : https://www.frequenceterre.com/2017/09/24/proviseur-tourmente-de-larbi-adouane-edilivre/
Fabuleuse « Grande Librairie » (France 5)
Fabuleuse « Grande Librairie » (France 5) animée par François Busnel et consacrée à l’insoumission, la vraie, pas celle de salonnards, et à la désobéissance civile… avec, sur le plateau, Orsenna, Onfray, Gros, Adimi…, et deux intenses moments d’émotion : quand un reportage nous montra de jeunes syriens tout à la fois résistants à la dictature et sauvant 15 000 livres pour en faire une bibliothèque clandestine (hélas, découverte et détruite !) et, quand vint s’exprimer Asli Erdogan, auteure et icône de la résistance aux prises avec le pouvoir turc.
J’ai retenu trois phrases de cette remarquable émission qui fait honneur au service public : « Le livre n’est pas une marchandise, mais un supplément d’âme » et « Un homme qui lit en vaut deux ».
L’objecteur de conscience que je suis resté depuis 1969 et l’amateur de livres que je suis depuis que je sais lire, était aussi ravi d’entendre : « Les livres sont une source d’instruction massive ! »
Hasard ou prémonition, en avril dernier, j’avais évoqué le petit ouvrage « La désobéissance civile » de Thoreau pour « Fréquence Terre », chronique que vous pouvez-vous retrouver en podcast, bien sûr : https://www.frequenceterre.com/2017/04/16/desobeissance-civile-3-euros/
Très inquiétant !
Très inquiétant ! La fin de notre liberté ? Entendu, ce soir, à « La Grande Librairie » (France 5), l’auteur Yuval Noah Harari expliquer que lire sur une tablette connectée à Google, permet, grâce à des capteurs biométriques, d’envoyer vos paramètres à Amazon, qui, alors, agira par de la pub ciblée ou, pire, signalera à « certaines » autorités (gouvernementales…) toutes vos données les plus privées (lectures choisies et arrêtées, Hugo, Verlaine, Camus…, consultations de telle ou telle info…) ! Et ce n’est pas de la fiction !
Nouvelle couverture
Je trouve que la nouvelle couverture de « Rencontres fraternelles avec Matthieu Ricard et le Dalaï-Lama – Symboles et traditions francs-maçons et bouddhistes » (Éditions Alain Jourdan) est aussi très belle par rapport au 1er projet (modifié à la demande de Matthieu Ricard). Quoi qu’il en soit, l’impression commence et ce sera une splendide rentrée littéraire pour moi ! Merci à toute l’équipe des Éditions Alain Jourdan !