Précision
Plusieurs informations négatives à l’encontre de Pierre Rabhi (corroborées par diverses publications), ont été émises suite aux chroniques qui lui furent consacrées sur Fréquence Terre-RFI.
Je précise que ces dernières furent uniquement basées sur ses écrits, que j’ai lus et où je n’ai jamais pris connaissance d’un rejet de l’« autre » (sauf du capitalisme !) ou préconisaient une idéologie contraire à la Démocratie et à mes convictions humanistes.
De plus, tout en rappelant succinctement son parcours du Sahara algérien à défenseur de l’agro-écologie, jamais il n’y eut la moindre promotion des associations, réseaux, ou fait état des relations privées… de Pierre Rabhi.
Mon travail fut exclusivement celui d’un chroniqueur littéraire, ayant relaté ce qu’il avait apprécié dans plusieurs de ses publications, l’inverse aurait été tout aussi vrai, comme le prouvent d’autres chroniques et cet avertissement dans mon essai Le gauchisme pacifiste expliqué à mes petits-enfants :
« Je ne demande pas que l’on partage mon point de vue. Le lecteur reste, bien entendu, libre de sa pensée et de son cheminement personnel et je fais mienne, autant que faire se peut, cette déclaration de Céline Borello, professeure d’Histoire moderne à Le Mans Université[1] : ‘‘ La tolérance est la vertu d’admettre la diversité, l’égalité des droits, la liberté de conscience, la liberté de croire, le refus de la violence… Un humaniste est quelqu’un qui pense que l’autre est son autre soi-même.’’ »
[1] Conférence de la rentrée académique 2018-2019 du Centre Interdisciplinaire d’Étude des Religions et de la Laïcité – Université Libre de Bruxelles, le 25 septembre 2018. Merci à Céline Borello pour son autorisation.