Tyrannie espagnole et maison royale belge : rumeur, intox ou info ?

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28.JPGDu Canada où il réside, un lecteur de mon ouvrage « Belgique Mystérieuse, Insolite et Sacrée » (Éditions Alain Jourdan) m’a contacté au sujet d’une « rumeur récurrente », selon lui :

« Est-il vrai que, naguère, une plaque commémorative de la décapitation des comtes d’Hornes et d’Egmont sur les ordres du duc d’Albe (espagnol) se trouvait fixée sur une façade d’un bâtiment de la Grand-Place de Bruxelles et fut enlevée sur ordre de la maison royale belge afin de ne pas vexer la reine Fabiola qui venait d’épouser le roi Baudouin ? »

Bruxelles2012 1.JPGÀ plusieurs reprises, ces derniers mois, j’ai demandé des éclaircissements à ce sujet à des fonctionnaires de la Ville de Bruxelles. Il m’a toujours été répondu que des recherches seraient entreprises. Je n’ai pas reçu de réponse.

 

Bruxelles2012 2.JPGAlors, rumeur, intox ou info dérangeante ?

Les Dames du Faubourg (1) de Jean Diwo (Folio)

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« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.

 

263656_10472426.jpgJ’avais apprécié « Les violons du Roi », « Le Printemps des Cathédrales » et « 249, Faubourg Saint-Antoine » de Jean Diwo ; alors, avec « Les Dames du Faubourg » (paru chez Folio), je suis à nouveau comblé.

En somme, l’auteur raconte la fabuleuse histoire de cette artère parisienne où il est né. Une histoire qui commence sous Louis XI, quand ce faubourg devint la patrie du meuble, le royaume du bois.

Les gens du bois y étaient considérés comme les aristocrates des professions manuelles.

Jean Cottion, canne de Compagnon à la main et malle aux quatre nœuds sur l’épaule, y débarqua et travailla dans le giron de l’abbaye Saint-Antoine-des-Champs dirigée par la puissante abbesse Jeanne, autrement appelée « Dame du Faubourg ».

Jean devint le premier ouvrier libre de Saint-Antoine et sa renommée dépassa l’enceinte de la cité. Il fondit famille, fut considéré comme un sage : « Au Faubourg, dit-il, on ne connaît qu’un encens, c’est l’odeur du bois. »

Chef de file des menuisiers, huchiers, sculpteurs…, il combattait avec adresse l’intolérance.

Ainsi, débute une longue histoire à l’ombre de l’abbaye, dont il sera question à plusieurs reprises dans la présente rubrique. En effet, trois ouvrages (entre 500 et 700 pages chacun) composent ce chef-d’œuvre qui sillonne les siècles et il ne sera pas vain de prolonger mon émerveillement !

Rencontre fantastique

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Remarquable émission « Hep taxi ! » (RTBF) :

 

http://www.rtbf.be/video/emissions/detail_hep-taxi?pid=64

 

« Je ne peux pas oublier ma première rencontre avec le dalaï-lama… », y explique Matthieu Ricard.

DSCF8388.JPGMoi non plus ! Voir mon prochain ouvrage « Mémoires… » aux Éditions Jourdan.

Foot et triche en France : « On voit trop de politiques se précipiter aux matches ! »

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OM VA1.jpgIl y a une vingtaine d’années, j’ai couvert l’affaire de corruption Olympique Marseille-Valenciennes (photo : me voici aux côtés de Jacques Glassman, le joueur – courageux – par qui le scandale arriva) ; le président de l’OM, Bernard Tapie, étant condamné à de la prison ferme, dont il sera question dans mon prochain ouvrage « Mémoires » (Éditions Alain Jourdan).

Rebelote ces jours-ci : « Le foot français est-il à nouveau pourri ? » lança ce-matin « Europe 1 »

Presse02.jpgLe magistrat (dans l’affaire OM-VA) Éric De Montgolfier, y déclara en direct : « Ça me rajeunit, j’entends les mêmes questions qu’il y a plus de vingt ans. Personne n’a envie de faire le ménage, personne n’a envie de s’y mêler, trop de politiques se précipitent aux matches de foot… »

Les « Désobéissants »

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DSCF8390.JPGRemarquable émission, hier soir, sur « France Inter » : « Conduite accompagnée » de Mathias Deguelle qui recevait Xavier Renou, « désobéissant » qui se bat pour le bien commun. Il rétablit quelque peu la culture de la désobéissance civile chère à Gandhi et à Lanza del Vasto (que j’ai eu le privilège de rencontrer et qui me dessina un superbe « Paix » : ce sera conté dans mon futur ouvrage « Mémoires » aux Éditions Jourdan).

 

logo France Inter.pngActiviste non-violent au sein des « Désobéissants », Xavier Renou expliqua : « Désobéir sans violence est aussi un des fondements de la vie démocratique. Nous ne sommes pas contre toutes les lois, mais contre les lois injustes. Les plumés de l’austérité veulent également survivre ! »

 

http://www.franceinter.fr/emission-conduite-accompagnee-xavier-renou-accompagne-de-stephane-lavignotte

 

59, passage Sainte-Anne de Frédérique Volot (Presses de la Cité)

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« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff sur « Fréquence Terre ».

 51JmeMhPzEL__SL160_.jpgIl y a une vingtaine d’années, pour les besoins d’émissions, j’avais expérimenté une séance de table tournante et j’avais été rendre visite à Allan Karadec, fondateur du spiritisme, qui repose pour l’éternité au cimetière du Père-Lachaise à Paris.

Là, près de sa tombe en forme de dolmen, devenue un lieu de pèlerinage et de rites dits ésotériques, j’y avais lu la mise en garde suivante : « La distance qui sépare le spiritisme de la magie et de la sorcellerie est plus grande que celle qui existe entre l’astronomie et l’astrologie… »

Paris pere lachaise kardec.JPGJe viens d’être replongé dans ce monde étrange par Frédérique Volot, auteure de « 59, passage Sainte-Anne » publié aux Presses de la Cité.

Après la « Vierge-Folle » qui m’avait agréablement surpris, j’ai donc à nouveau emboîté le pas du détective Achille Bonnefond, considéré comme le meilleur spécialiste des affaires criminelles de Paris et miraculeusement sorti du coma dans lequel il avait été plongé à cause d’une balle qui lui était passée à un cheveu du cœur.

Pour être franc, en tant que chroniqueur judiciaire, je suis généralement sceptique face aux trames des polars et séries policières, très souvent éloignées de la réalité, comme ne cessent de le répéter les magistrats et avocats de cours d’assises.

Néanmoins, avec une rare franchise, Frédérique Volot prévient d’emblée le lecteur de manière crédible : elle s’inspira de documents et de témoignages, de propos et d’écrits historiques, principalement d’Allan Karadec lui-même, pour « imaginer » certains passages de son roman.

L’intérêt de celui-ci réside aussi dans quelques propos qui peuvent susciter une méditation ou une réflexion :

 

«  Lire, c’est s’instruire. Et s’instruire, c’est comprendre. »

 

« Quand on se dit l’ami(e) d’une personne, on sait voir au-delà de ses paroles. »

 

« Impossible n’existe pas dans la nature, la science fait le possible de l’impossible. »

 

Assurément, les « esprits » ne manquent pas dans cette affaire du Second Empire !

 

Concerts mythiques

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DSCF0791.JPGÀ Bercy, du 5 au 10/11 : Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Jacques Dutronc en association. Ce dernier ne fait pas partie de ma collection de « rencontres fantastiques », bientôt racontées dans un ouvrage publié en 2015 aux Éditions Jourdan.

Johnny dans une salle de body building et Eddy à un bar pour des interviews « décalées » pour l’époque (années ’80).

Deux courts extraits :

Johnny Hallyday : « Je me suis entraîné aux Gold Gym et World Gym (Californie). Mais, vous savez, tous les champions rencontrés ne me paraissent guère différents de ce que l’on voit chez nous en Europe. Sauf, peut-être, au niveau du volume musculaire plus important. Mais, ceci ne me plaît guère car c’est exagéré. Par contre, les filles musclées, sans exagération, bien sûr, ça me plaît ! »

Eddy Mitchell : « La Nouvelle Chanson Française ? C’est une invention gouvernementale, ça ! D’ailleurs, en ajoutant Société, ça donne…SNCF ! »

Quelle crédibilité ?

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« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff.

Carrefour Evere3.JPGÀ plusieurs reprises, j’ai décompté la « production » du même chroniqueur littéraire d’un quotidien d’envergure nationale, voire internationale :  é-pous-tou-flant !

Moi qui « carbure » à raison d’un livre par semaine, rédaction de la rubrique en plus, comment fait-il pour lire plus de 700 pages par JOUR de livres récents afin d’alimenter 5 à 10 de ses chroniques ?

« Je lis du matin au soir et la nuit ! » me répondit-il de manière sarcastique.

Même constat pour un chroniqueur d’une radio généraliste de l’Hexagone : un livre par jour toute la semaine avec, donc, cinq enregistrements desdites « critiques », qui ont, forcément, été écrites auparavant.

Quelle crédibilité donner aux « choix conseillés » de ces personnes, si ce n’est penser à un copinage éhonté ou à quelques « gâteries » ?