v:* {behavior:url(#default#VML);}
o:* {behavior:url(#default#VML);}
w:* {behavior:url(#default#VML);}
.shape {behavior:url(#default#VML);}
Normal
0
21
false
false
false
MicrosoftInternetExplorer4
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin:0cm;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:10.0pt;
font-family: »Times New Roman »;
mso-ansi-language:#0400;
mso-fareast-language:#0400;
mso-bidi-language:#0400;}
Onzième chronique de « Sur les pas et dans les pages de Victor Hugo » pour « Fréquence Terre » (à paraître en octobre ou novembre)
Juste après le mariage de son fils Charles, Victor Hugo fit un tour en Zélande (Province des Pays-Bas), qu’il décrivit avec « grâce et plaisir ».
Charles Hugo retraça ce voyage sous le titre « Victor Hugo en Zélande ».
Le poète était enchanté de ce qu’il voyait et avait été spécialement frappé par les lignes claires des villes.
À chaque étape, entre Anvers et Middelburg (chef-lieu de Zélande), il trouvait un accueil chaleureux et chacun sollicitait l’honneur de recevoir un tel hôte renommé.
L’écrivain dédicaça une photo de l’hôtel de ville de Middelburg, le plus bel édifice de la ville, dit-on. Son beffroi et sa façade principale sont de véritables dentelles de pierre.


Photo dédicacée par Victor Hugo et Pierre Guelff quelque quinze décennies plus tard au même endroit.
Une excellente occasion pour aller admirer ce joyau (parmi d’autres), et, je fus très surpris que rien, absolument rien, ne rappelle le séjour de Victor Hugo dans cette belle cité. Réponse de la directrice du Tourisme local face à mon étonnement : « Ça intéresse peut-être les Français, pas les Hollandais ! » Voici comment on écrit l’Histoire…
Ceci dit, Middelbourg est bien une splendide cité qui regorge de témoignages du passé : l’hôtel de ville (XVIe siècle), donc, avec son beffroi, son cadran solaire, ses statues finement sculptées…, l’abbaye (fondée au XIIe siècle) avec ses deux églises, ses gisants et pierres tombales, sa salle capitulaire (transformée en étable avant de devenir bibliothèque), son cloître, son jardin médiéval… et, au pied de la mairie, « Les chaises qui font pipi » !
À savoir, un clin d’œil pour expliquer les latrines au VIIIe siècle : se pencher vers l’avant, prendre une position assise et uriner sur place, n’importe où, même en rue ou sur la place du Marché !







