Dans les pas de George Sand, de Vierges baladeuses, d’un loup-garou…

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DSCF2044 bis.jpgC’est (re)parti ! Sur base de mes écrits – et ajouts – « Belgique, France et Ardennes Mystérieuses » aux Éditions Jourdan, préparation de la 8e saison estivale pour VivaCité (en compagnie de Philippe Delmelle), avec dix émissions sur le thème « Mythes, croyances populaires et légendes » (Pays de Charleroi, Ardennes françaises, Brabant Wallon, Botte du Hainaut…) dans les pas de George Sand et des « Pierres infidèles », de Vierges « baladeuses« , d’un loup-garou…

Censure

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280px-Ls_svg copie.jpgLu sous la plume d’un journaliste du « Soir » : « Si on interdit aux gens de penser ce qu’ils veulent, on rentre dans la dictature. (…) Il faut laisser les gens s’exprimer pour pouvoir leur répondre et démonter leur argumentation. Quand on empêche les gens de parler, on en fait des martyrs. »

Les Dames du Faubourg (3) de Jean Diwo (Folio)

« Littérature sans Frontières » est une chronique de Pierre Guelff sur « Fréquence Terre ».

263656_10472426.jpgDans deux précédentes rubriques, j’ai mis en lumière cet ouvrage exceptionnel de Jean Diwo « Les Dames du Faubourg » (Folio), du moins son premier tome, celui qui raconte ce coin de Paris de Louis XI au 13 juillet 1789, en passant par François Ier, Rabelais, la terrifiante Saint-Barthélemy, Montaigne, Henri IV, Richelieu, la Fronde, Colbert…

Dans les quelque 700 pages, j’ai relevé quelques phrases qui me paraissent dignes d’être méditées :

Celle d’un Compagnon menuisier : « Quand on ne peut rien faire d’autre, il faut coopérer avec l’inévitable. »

Une abbesse déclara : « Mieux vaut être oublié des grands qui ne sont que des petits. »

Un Maître artisan : « Il faut savoir vieillir en jeunesse. »

Celle d’Anne, épouse d’un Maître-ébéniste, et qui fut peinte par le Tintoret : « Le potage de la vie n’est pas grand-chose si on ne peut y mêler les épices du savoir. »

De Marguerite, patronne d’un atelier du Faubourg Saint-Antoine : « L’ironie est souvent la force des faibles. »

D’un ancien collaborateur de Necker, le ministre aux idées libérales qui faisaient peur à la cour, mais qui n’avait jamais parlé de sa vie à un ouvrier : « Si seulement ceux qui gouvernent avaient la curiosité d’aller voir le peuple là où il vit, là où il travaille, que de sottises seraient évitées ! »

Et, pour terminer, un dicton populaire : « Lorsque les riches commencent à avoir faim, les pauvres sont déjà morts. »

Mon « Kroll »

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Remarquable supplément dans « Le Soir » avec 16 pages de caricatures de Pierre Kroll « 2014 ». Au temps des débats télévisés lors du procès Dutroux, j’avais aussi eu droit à une caricature de Pierre Kroll, mais à la RTBF-TV lors dDSCF2001.JPGe « Mise au point », sous le titre de « L’apéro du dimanche ». Me voici, à gaucheRTBF Procès Dutroux 2004 4.JPG, en compagnie de René Haquin (« Le Soir »), Roland Planchar (« La Libre Belgique » et l’avocat Pierre Chomé. Il aurait fallu parler de « Mise au… poing » (à lire très bientôt dans mon ouvrage « Mémoires… » aux Éditions Jourdan).

François Pirette et les Taloches (« humoristes ») et Marc Levy

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Commentant la fin de l’émission télévisée « 50 degrés Nord » (25 000 ARTE.pngimagesSVLI821D.jpgtéléspectateurs par émission sur Arte Belgique et La Une-RTBF, selon « Le Soir »), Patrick Paulo, producteur de ce magazine culturel refuse les termes « émission élitiste » et déclare : « Parmi les 1 300 sujets traités par an, tous n’étaient pas faciles d’accès, mais Pirette, les Taloches (*) et Marc Levy (**) sont aussi passés chez nous. »

Comparaison n’est pas raison, dit-on… 

(*) « humoristes » belges

(**) célèbre romancier français traduit en 40 langues dans plus de 30 pays, ayant vendu quelque 30 millions de livres !

Le confesseur laïque (France 5)

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logo_france5.pngTrès bel hommage à Jacques Chancel, le maître des intervieweurs, dont voici quelques propos :

« Le rêve est une création. »

« J’ai toujours considéré que j’étais une courroie de transmission. »

« Tout le monde me parlait de Dieu. Même les agnostiques. J’ai toujours aimé parler de spiritualité. »

« L’impertinence est dans la courtoisie. »

« Quand on parle des autres, on parle de soi. »

« Il faut transformer le malheur en bonheur. »

Symbolique et libre pensée

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logo_france5.pngÀ la veille de Noël, j’ai entendu ces deux propos particulièrement « clairvoyants » à « C dans l’air », la remarquable émission de débats de France 5 : « La libre pensée n’empêche pas la pensée libre. » et « Empêcher la Symbolique c’est lobotomiser la Mémoire dans laquelle se trouve la Tradition. »

Politique antibiotique et lobbys

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Dans mon prochain ouvrage « Mémoires… » (Alain Jourdan), je reviens sur certains de mes articles écrits il y a VINGT ans et qui dénonçaient déjà la mainmise  de lobbys pharmaceutiques et médicaux. Cela n’avait pas plu à ces derniers…

DSCF1985.JPGAujourd’hui, dans « Le Soir », nouveau cri d’alarme : « Le Belge abuse des antibiotiques » et il y est question, encore et toujours, de « surprescripteurs ». Rien de nouveau, donc, malgré une prétendue « politique antibiotique » : la Belgique est même dans le peloton de cette consommation en Europe !

 

Extraits de mon ouvrage à paraître en 2015 :

« 

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Ainsi, je rencontre le professeur Jean-Marie Ghuysen de l’Université de Liège, Prix mondial Albert Einstein, pour un entretien qui, avec le recul, est assez prémonitoire (grâce en soit rendue à mon rédacteur en chef qui me guide vers lui).

        « Depuis cinq ou six ans, donc au début des années ’90, la situation des antibiotiques est dramatique. Pour un nombre important de maladies infectieuses d’origine bactérienne, on en est revenu à la situation d’avant la pénicilline découverte par sir Alexander Fleming en 1928. Certaines bactéries sont devenues résistantes à tous les antibiotiques. Pour les patients qui en ont besoin, c’est vraiment l’apocalypse. Ils ne peuvent plus compter que sur leurs propres mécanismes immunologiques. Je veux nullement accabler mes collègues médecins, mais il est certain que la manière dont les antibiotiques ont été manipulés a été démentielle. (…) Et puis, les vétérinaires doivent aussi être montrés du doigt. Des antibiotiques ont été utilisés à des doses incroyablement élevées pour engraisser le bétail. »

 

Comme un écho du terrible hiver 60 (« Le Soir »)

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DSCF1982.JPGIl y a exactement cinquante-quatre ans, je faisais mes premiers pas dans une « mobilisation citoyenne » (l’un des thèmes de mon prochain ouvrage « Mémoires… » aux Éditions Jourdan), mais de manière pacifique, bien sûr : avec d’autres manifestants, bloquer le bureau de la Poste (à Arlon) en achetant – chacun ! – un seul timbre à 1 franc avec un billet de 1 000 francs… Cela dura toute une matinée. DSCF1984.JPGAilleurs, dans le pays, le conflit était violent : 4 morts, armée mobilisée dans les rues, actes de sabotage… C’était le temps de la « Grève du Siècle », d’André Renard (faussement baptisé de « Marc Goblet avant l’heure » dans cet excellent reportage du« Soir », selon moi), Gaston Eyskens, « Loi unique », Mouvement populaire wallon, fédéralisme…

Horloge du pauvre et chef-d’œuvre

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dp04_ppp_angelus_100p.jpgParfois, les Francs-Maçons sortent de leur Temple pour aller admirer des chefs-d’œuvre d’artisans ou ouvriers hors pair et, ainsi, passer d’un aspect spéculatif à une réalité « opérative ».

Pour ma part, la visite du « Clockarium » à Bruxelles a démontré – si besoin est encore – leur remarquable travail, quand bien même le résultat de celui-ci n’a pas obligatoirement une valeur marchande élevée.

boch_1074_fm.jpgEn effet, ce musée exceptionnel abrité dans une belle petite maison aux lignes Art Déco située non loin de la RTBF – 163 boulevard Reyers – www.clockarium.com – expose des centaines « d’horloges du pauvre » du début du XXe siècle. Fabriquées en faïence (base d’argile), une matière moins chère et noble que la porcelaine réservée aux nantis, elles ornaient les cheminées de nombreuses modestes maisonnettes de Belgique et de France du Nord. Tout l’art (magistral) des artisans résidait donc dans la fabrication d’objets financièrement accessibles au peuple et qui représentaient, pour celui-ci, une grande importance dans sa dure existence.

Ces horloges dites populaires témoignent aussi d’un « voyage délicieux dans le temps et l’imaginaire » et d’un mode de vie plein de poésie, de fantaisie et d’étonnement… bien loin du plastique du XXIe siècle !

 

Photos : avec l’aimable autorisation du « Clockarium ».