Á la notion « Fête du Travail « , je préfère celle de « Mémoire » de toutes celles et de tous ceux qui luttèrent, parfois au détriment de leur vie, pour sortir des enfants des mines, pour notre relative sécurité sociale, etc. Quand je vois certains nantis et socio-démocrates qui osent fêter le 1er Mai et lever le poing droit (au lieu du gauche) en remuant leurs lèvres comme s’ils entonnaient l’Internationale, que la Charte de Quaregnon est considérée comme obsolète, eh bien, je pense à Jean Jaurès, André Renard et à leurs semblables. Aux « vrais » défenseurs du prolétariat et autres « damnés de la terre « , car il y en a encore. De plus en plus, même. C’est dit.
Littérature sans Frontières 